Le village qui est près de la sortie du château.
Neozeo marchait, depuis un bon moment déjà, il avait rencontré plusieurs fermiers dans sa marche jusqu'au village où il était rendu. Le sang des fermiers qu'il avait rencontré nourrissait le sol de leur plantation qu'ils chérissaient et leurs femmes et enfants pourrissent déjà sur le plancher de leurs demeures respectives. Il voyait le village au loin, des centaines de personnes bougeant, criant, parlant et faisant tout plein de choses anodine. L'habit de Neozeo, son armure de combat, toujours étincelante dût à son habileté au combat et son habileté à ne pas faire gicler le sang sur la magnifique armure. Son épée propre, mais manque le brilant dût aux multiples lavages qu'il avait dut effectué pour ne pas que le sang reste sur sa lame et l'émousse légèrement.
Il regardait le village et pensait aux centaines de manière différente qu'il pourrait tué chacunes de ses personnes, le massacre serait un vrai délice et probablement que l'ange de la mort passerait par ici par après, pour faire le ménage de tout ses corps, pour effectué se qu'elle devait faire. Il était une arme, au service de l'empereur et au service de lui-même, pour ses propres ambitions. Il ferma les yeux et chercha le nombre de personne qui se trouvait dans les alentours, leur sex, leur âge, où ils se trouvaient. Il ouvrit les yeux et leva ses deux épées et pivota sur lui même, la faux d'un fermier s'abattit contre ses épées croisées. Neozeo referma sa prise et fit un botte pour destabiliser son adversaire. Le fermier perdit pied sous l'impact du corps de Neozeo contre le sien. Les épées de Neozeo se décroisèrent et son épée gauche entra dans la poitrine du fermier. Le fermier fit quelque convulsion puis son corps se raidit, il était mort. Il découpa le vêtement du fermier et essuya son arme sur le vêtement.
Il y aurait une centaine de mort, il les tuerait tous sans exeption et il les poursuivrait. Se serait son plaisir.
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